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Page d'accueilLa France doit diversifier ses sources énergétiques non carbonées et accélérer ainsi sa transition écologique. L’éolien en mer fait partie intégrante d’une solution pérenne qui contribue ainsi à notre résilience climatique au bénéfice du consommateur. Dans le cadre des procédures concurrentielles lancées par les pouvoirs publics, la CRE a plusieurs missions, elle :
L'éolien en mer contribue à l’atteinte des objectifs de la France en matière de développement des énergies renouvelables. La production de ces parcs est particulièrement intéressante pour le système électrique en raison de facteurs de charge élevés, de l’ordre de 40 à 60% pour les parcs modernes.
L’électricité produite par ces éoliennes est acheminée par des câbles sous-marins dans des postes électriques en mer. Elle passe ensuite par des câbles souterrains pour atteindre les postes électriques de raccordement, qui l’envoient dans des lignes à haute tension pour la répartir sur le réseau électrique.
Les six premiers projets français de parcs éoliens en mer posés ont été attribués entre 2012 et 2014 (procédures dites « AO1 » et « AO2 ») pour une puissance installée cumulée de près de 3 GW. Les mises en service de ces premiers parcs devraient s’échelonner entre fin 2022 (parc éolien en mer de Saint-Nazaire) et 2025.
En 2019, le lauréat de la troisième procédure concurrentielle (dite « AO3 ») a été désigné, pour la construction d’un nouveau parc éolien en mer au large de Dunkerque à un niveau de prix très compétitif (44 €/MWh) et pour une mise en service prévue en 2028.
Plusieurs nouvelles procédures sont en cours :
Dans le cadre des procédures concurrentielles en cours et futures, la CRE est notamment particulièrement attentive à :